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  Feuilleton : I was Lt Col Cole's runner...

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MessageSujet: Feuilleton : I was Lt Col Cole's runner...    Feuilleton : I was Lt Col Cole's runner... Icon_minitimeJeu 8 Nov 2012 - 21:21

gennaker a écrit:
John Fitzgerald, HQ 502 Parachute Infantry
Col. Robert G. Cole’s Runner.

..."Durant l'hiver 1942, j'étais stationné à Fort Bragg, en Caroline du Nord, avec le 502nd Parachute Infantry Regiment de la 101st Airborne Division. Je revenais de 3 jours AWOL (Absent Without A Leave, en gros, faire le mur! ndlr), et j'étais vraiment dans la merde!. Les charmes irrésistibles de ma nouvelle copine s'étaient avérés trop forts pour moi. J'avais fait la petite erreur de rentrer chez moi pour Noël sans permission. La discipline dans les unités Airborne était en béton à cette époque. Avec de gros froncements de sourcils, et force dégradation, je fus viré de mon boulot au machine gun platoon. Il ne manquait plus que le roulement de tambour! La dernière chose que le lieutenant a dit devant toute la formation au garde à vous est : "Fitzgerald! Je doute fort que quiconque soit jamais capable de faire de vous un soldat!" C'est ainsi que je devins la seule personne disponible quand le commandant du bataillon demanda un trooper pour lui servir de "runner" le temps de quelque jours. Je n'avais alors aucune idée que ces quelques jours dureraient des années! Robert G Cole était alors major ; il était sorti de West Point en 1939. Il mesurait plus d'un mètre 80, costaud, l'allure un peu sauvage, et dotée d'une grosse voix gutturale. Je n'étais qu'un exclu d'un collège de New York City et j'avais passé l'examen d'entrée chez les Airborne par la peau des dents. Il serait généreux d'avouer que nous n'avions rien en commun.

En me présentant au rapport devant lui le jour suivant, il m'accueillit avec un salut qui allait devenir sa signature : "Rentre moi ce ventre de buveur de bière pourrie, idiot! Où est ce que tu te crois? dans un putain d'alambique?" J'étais maigre comme un coucou à l'époque! et je me dis qu'à partir de ce moment, ma vie était sur une pente bien glissante!

Dans les premiers jours des unités Airborne, les instructeurs avaient très peu d'expérience et pas de précédents auxquels se référer. L'ordre de base à chaque entrainement était : "Faites les courir jusqu'à ce qu'ils tombent. Ceux qui restent deviendront de bons paratroopers". Des marches de 20 à 25 miles étaient monnaie courante. Tous les exercices physiques quotidiens étaient précédés par 8 km de course à pieds. La partie la plus facile de la formation parachutiste était l'entrainement aux sauts. C'était la seule fois où on allait quelque part sans courir!"

Robert Cole
 Feuilleton : I was Lt Col Cole's runner... R_g_co10
TO BE CONTINUED...
gennaker a écrit:
"...La 101st Airborne s'est, dans tous les compartiments, merveilleusement comportée durant la seconde guerre mondiale. Un simple Private a parfaitement résumé l'esprit qui habitait la division durant le siège de Bastogne. La 101st était complètement encerclée par des éléments de 7 divisions allemandes. Quelqu'un a demandé à ce Private ce qu'il pensait de la situation. Il répondit : "Les pauvres bâtards! ils nous ont encerclé!" Les racines de ces performances au combat sont ancrées tout au fonds de collines du Tennessee, dans les bourbiers d'Angleterre et dans les camps d'entrainement sableux et plantés de pins de Fort Bragg. Avec chaque marche épuisante, avec chaque manoeuvre d'entrainement, officiers et soldats apprirent à se connaitre, et à se faire confiance. La dureté, l'agonie physique, les risques partagés de l'entrainement au saut, tout s'est combiné pour former le socle d'un état d'esprit unique.

Le Général William C Lee, le père des forces aéroportées américaines, avait édicté une seule règle auprès de nos commandanst d'unité ; "Vous pouvez botter le Q de 10 hommes. Répétez vous cela jusqu'à ce que vous en soyiez réellement persuadés." La difficulté était de maintenir cet état d'esprit à l'entrainement tout en l'évitant le soir dans les bars à bière des villes avoisinantes. Le plus sale boulot de l'armée à cette époque était celui les MP stationnés à Fayettville, Caroline du Nord, petite ville non loin de Fort Bragg. Des bagarres s'y déroulaient chaque nuit entre la 101st Airborne et les tankistes de la 2nd Armored de George Patton. Les prisons locales ne désemplissaient pas pour calmer les boys!!
Aujourd'hui encore, c'est ma ferme conviction que nos First Sergeants étaient choisis parce qu'ils étaient capable de botter le cul de n'importe qui dans la compagnie. Les officiers avaient le dur boulot de mener par l'exemple. A mon avis, nul n'était meilleur à cet exercice que le Lt Col Robert G Cole. Devenir un excellent officier au 502nd PIR n'était pas chose aisée. Nous ne le savions pas à cette époque, mais le 502 allait produire un paquet de futurs généraux, J.H. Michaelis, Patrick Cassidy et Steve Chappuis notamment..."
gennaker a écrit:
"...Le Lt Col Cole avait cette rare combinaison de courage, d'intégrité, d'humour ainsi qu'une grande compassion et compréhension pour ses hommes. Sa compassion était certainement sa plus grande qualité. il pouvait vous pousser jusqu'à l'extrême limite, puis pousser juste un tout petit peu plus loin. Quand il ne restait plus rien en vous, sons sens de l'humour prenait le relais. Durant la charge sur Carentan, là où il a gagné sa Medal of Honor, il y avait eu un ratage au début de l'attaque. L'ordre d'attaquer n'était pas passé dans les rangs de la compagnie. Il se retrouva au milieu d'un espace dégagé avec juste une poignée d'hommes. Tout en faisant feu avec son .45, il criait : "Je ne sais pas sur qui je tire mais il faut bien faire quelque chose..." malgré la situation désespérée qui était la leur, les hommes autour de lui ont éclaté de rire.

Mon premier boulot auprès de lui était d'agir comme "runner", courrier, lorsque nous étions en manoeuvre ou à l'exercice. Des choses incroyables me sont arrivées en éxécutant ce simple boulot. J'ai de précieux souvenirs de tous ces instants passés avec lui. Au début, j'ai eu beaucoup de chance. On sautait de nuit, et on atterrissait au milieu de nulle part. Le colonel m'envoyait alors dans 'obscurité pour localiser une des compagnies qui n'avaient pas rejoint le point de rencontre. je choisissais une direction et je partais dans la nuit. Mon idée était de parcourir un cercle. Par simple chance, je parvenais à établir le contact avant d'avoir compléter ce cercle, et je rejoignais la compagnie.

Parmi les choses importantes que j'ai apprises auprès de lui sont les qualités incontournables pour faire un bon soldat. La discipline, la loyauté, la fermeté et l'altruisme. Il avait très peu de patience pour les incompétents, particulièrement chez les officiers. Un des boulots peu enviables que j'avais auprès de lui était celui "d'interprète". Durant les Tennessee manoeuvers de 1943, nous reçûmes pour objectif de prendre une colline. Cole pensa qu'une des compagnies ne contribuait pas suffisamment à l'attaque. Il me cria : "Va dire au capitaine Untel de se foutre son esprit de matheux dans le Q et d'envoyer ses mitrailleuses en avant!". J'allai trouver ce capitaine, et lui remettais le message de Cole : "Sir, le colonel vous suggère de bouger vos mitrailleuses vers une position plus favorable. Et peut-être serait il adéquat de le faire à toute vitesse."
Bien qu'il sache lire une boussole mieux que quiconque, il nous arrivait de nous perdre de temps en temps. Il se tournait alors vers moi avec un demi sourire et disait : "Fitzgerald! vous êtes le seul soldat que je connaisse qui puisse se perdre entre son lit et les chiottes!"...
gennaker a écrit:
"...Tout soucieux qu'il soit du bien être de ses hommes, il n'avait pas d'égal dans tout le régiment pour vous mettre minable si vous déconniez. Il attendait toujours plus de la part des hommes sous son commandement direct. Lors d'une tournée d'inspection, j'avais appris que ce serait lui l'officier chargé de l'inspection. J'ai passé des jours à me préparer. Mes bottes luisaient comme un miroir. Tous mes vêtements étaient parfaitement repassés et mon fusil était sans tache. Je ne voulais pas qu'il trouve quoi que ce soit à redire. Quand le colonel est arrivé en face de moi, j'ai ouvert la chambre de mon arme, et j'ai fait tomber la culasse aussi rapidement que possible. C'était une présentation d'arme parfaite. Il vérifia l'arme à l'intérieur et à l'extérieur et me rendit le fusil. J'avais réussi!! Juste au moment de passer au trooper suivant, il me lança un compliment. je tournai mon regard vers lui. C'était un truc et je me suis laissé avoir. Sa réaction éclata comme le tonnerre. "Espèce d'idiot! n'as tu jamais appris à garder ton regard fixe à tout moment quand tu es au garde à vous??"

Un jour de pluie près de Carentan, on jetait un oeil sur un secteur où nous devions bientôt nous installer. Les nombreuses haies rendaient tous les terrains identiques à nos yeux. Après avoir visité le périmètre, on se retrouva juste en avant de nos lignes. Réalisant notre erreur, nous fîmes demi tour. En approchant de notre poste avancé, on tomba sur une de nos sentinelles et on s'approcha. Le colonel lui demanda : "Pourquoi ne nous as tu pas demandé le mot de passe?" Le private répliqua : "Je vous ai reconnu Sir!" Cole explosa littéralement! Il resta debout sous la pluie pendant au moins 5 mn aà expliquer en terme "choisi et poétique" l'importance à demander le mot de passe à quiconque se trouvait en avant des lignes. Il tombait des cordes et le private était aussi penaud que totalement liquéfié. Au moment de s'éloigner, le colonel le regarda, enleva son imper et le donna au private, lui demandant de le lui rendre quand il aura finit sa garde. Cole était ainsi ; il avait cette capacité à jurer et à prendre soin de nous en même temps!
gennaker a écrit:
"....Une des choses dont je me souviens particulièrement bien à son sujet, c'est qu'il nous soutenait chaque fois à fond. Une nuit en Angleterre, on était engagé dans des manoeuvres juste avant le D Day. C'était la toute première fois que nous travaillions avec des tanks. Je devais retrouver les tanks à une intersection et les guider vers une zone que le colonel m'avait indiquée. Sans trop de problème, je retrouvai le commandant des chars. Après avoir identifié un itinéraire carrossable pour les tanks, nous partîmes dans la nuit noire. Après quelques estimations chanceuses, je parvins à trouver l'endroit indiqué par Cole. Tout le temps que j'étais resté avec les tanks, leur commandant, un lieutenant, s'adressait à moi en disant "Sir". J'imagine qu'il avait pensé que le colonel Cole lui avait au moins envoyé un officier pour faire la liaison.Le temps passant, il devint embarrassant pour moi de le reprendre et de lui avouer que je n'étais que Pfc. Quand l'aube se leva, je me dis qu'il était temps pour moi de disparaitre, avant qu'il ne découvre mes "stripes". Je m'excusai donc et déguerpis. Un peu plus tard ce jour là, le commandant de chars se présenta de nouveau à notre poste de commandement. Il passait en revue les manoeuvres de la nuit avec Cole. Durant cette conversation, il mentionna à plusieurs reprises "l'excellent job fait par le "capitaine". Cole fronça les sourcils et s'apprêtait à dire "Quel capitaine", quand il m'aperçut au fond de la salle entrain de pointer mon doigt sur ma poitrine pour me désigner. Il entra dans mon jeu et dit : "Oh lui? c'est un de mes meilleurs hommes..."

Le jour du saut en Normandie, j'étais le N°3 de notre stick. Le colonel était N°1, suivi du chirurgien du bataillon, puis moi. Bien que nous ayons sauté en semble, on s'est trouvé séparé une fois au sol. J'ai passé les 18 jours suivants avec la 82nd Airborne et ai été porté MIA par la 101st Airborne. Durant tout ce temps, Lt Col Cole avait reçu le rapport de ma disparition et aussi de ma mort, car quelqu'un prétendait avoir vu mon cadavre. Je fus considéré comme KIA. On m'a rapporté plus tard que cette nouvelle l'avait remué. A cause de la confusion des largages, des hommes de la 101st ont combattu avec la 82nd et vice versa. Ceci ne fut réglé qu'au bout de plusieurs semaines quand on ordonna aux hommes de rejoindre leurs unités respectives. Quand je parvins finalement à rejoindre ma compagnie, je me présentai devant Cole. Il dit : "Fitzgerald, si je n'étais pas si content de te voir, je te descendrais!" Lors de la préparation du saut, une de mes responsabilités était de m'assurer que tout son équipement était en ordre. Il m'avait demandé de mettre de la bande adhésive autour de son holster de . 45 de façon à ne pas le perdre durant le saut. A l'évidence, je me suis un peu lâché sur la bande adhésive. Tout de suite après son atterrissage, Cole est tombé sur deux allemands. Il a mis la main à son Colt, mais il lui a fallu un temps infini pour dégainer pendant que les allemands foutaient le camps..."
gennaker a écrit:
"...Pendant toutes les marches que nous avons faites ensemble, il y a eu des moments où nous étions proches de l'épuisement. Pendant les pauses, Cole continuait à marcher le long de notre colonne. Il remontait le morale à des gars, plaisantait avec un autre, en encourageait certains... Si on faisait une marche de 20 milles, il devait sûrement en couvrir 30!
C'était un principe chez lui, il ne mangeait pas sur le terrain avant d'être sûr que tout le monde avait mangé, pas plus qu'il n'allait se coucher avant d'être certain que le périmètre était sécurisé. La nuit avant de se faire tuer en Hollande, il a partagé une conserve de pamplemousse avec Robert Doran, son opérateur radio, et moi-même. Il l'avait emmené d'Angleterre. Cet exemple et de nombreux autres démontraient toute sa gentillesse..."
gennaker a écrit:
"...Le 17 septembre 1944, la 101st Airborne a effectué son second saut derrière les lignes ennemies en Hollande. Le premier jour, cela avait l'air d'une promenade de santé. Des civils Hollandais à pied ou à vélo étaient partout sur la drop zone. Beaucoup nous offrait des fleurs, des pommes et autres fruits. Plus tard ce jour là, on a mangé un vrai repas de famille à notre quartier général, préparé par une famille Néerlandaise. Ce soir là, nous sommes partis rejoindre une petite ville appelée Best. O marchait en colonne quand un groupe d'allmeands a ouvert le feu sur nous. Une fusée éclairante a illuminé la nuit et nous avons tous plongé par terre. Heureusement pour nous, les allemands n'ont pas réalisé qu'ils avaient devant eux tout un bataillon complètement à découvert, et leur feu a cessé. C'était un avant goût de ce qui nous attendait!.
On est arrivé dans un petit bois près de Best à l'aube, et on y a établi notre poste de commandement. La Company H du 3/502 avait pour mission la capture d'un pont qui franchissait le canal Wilhelmina. Avant la fin de cette bataille, toute la division, supportée par des tanks anglais auraient été engagés, pour la capture d'un pont que l'ennemi finirait par faire sauter...."
gennaker a écrit:
"...Le 18 septembre 1944 est le jour le plus sombre de l'histoire du 3ème bataillon, 502 Parachute Infantry. Sans le savoir, le bataillon était tombé sur sur une force ennemie supérieure en nombre qui tentait de rejoindre l'Allemagne en train. Ils faisaient partie des armées allemandes qui se retiraient de France et de Belgique. Arrivés à Best, ils avaient reçu l'ordre de débarquer et de nous combattre. Les allemands disposaient de fortes concentrations d'artillerie et d'une énorme puissance de feu d'armes automatiques. L'ennemi utilisait aussi beaucoup leur 20 mm anti aérien pour défricher littéralement les parties boisées que nous occupions. Leurs tirs étaient si intense que les arbres commencèrent à brûler. Nos pertes augmentaient à un rythme effrayant. Le Colonel Cole décida de faire appel à l'appui aérien pour relâcher la pression que nous subissions. Quand nos P-47 sont arrivés, l'enfer s'est déchaîné, car il sont commencé à tirer sur tout ce qui bougeait! Cole était de plus en plus inquiet pour la sécurité de ses hommes. Il demanda à ce que l'on indique nos positions avec des fumigènes et des panneaux oranges. Il décida de superviser lui-même la mise en place de ces signaux. La couleur orange devait indiquer à nos pilotes où se trouvaient les troupes amies. Alors que les avions poursuivaient leur pilonnage, Cole se rongeait d'inquiétude. Il décida d'aller en plein champs installer lui même un panneau orange, par précaution supplémentaire. Juste avant de se mettre en route vers ce champs, il m'envoya récupérer une jeep parqué à quelque distance. Elle était remplie de munitions, et nous l'attendions avec impatience car tout le monde était à court. Je ne me suis absenté que quelques minutes. Quand je suis revenu, il y avait un petit attroupement d'hommes en bordure du champs. En m'approchant, j'ai vu le colonel allongé sur le dos. Je me suis agenouillé près de lui. J'ai regardé le chirurgien du bataillon et lui ai dit ; "Ne pouvez vous pas tenter quelque chose pour lui?" Il m'a dit : "I'm sorry John, mais il n'y a plus rien à faire pour lui!". Il avait été tué par un sniper caché dans une ferme à cent mètres de là. Nous prîmes conscience que nous venions de perdre plus qu'un commandant de bataillon ce jour là. Je me souviens avoir annoncé la nouvelle au major Stopka, son second, lui disant qu'il était à présent en charge du bataillon (Stopka sera tué dans les Ardennes par des P-47 américains ndlr). je ne me souviens rien d'autre des jours qui ont suivi....
Le lieutenant Colonel Robert G Cole n'a jamais su qu'on lui avait attribué la plus haute distinction militaire américaine, mais même cela ne peut surpasser l'hommage que ses hommes lui ont rendu ; Il nous faudrait encore nous battre à Bastogne, en Alsace et en Allemagne, mais depuis ce jour, un grand vide silencieux entourait le bataillon, que rien ne viendrait remplir.
Avec les années, je repense souvent au temps passé avec la 101st Airborne, et je me souviens du machine gun platon et de ce lieutenant qui m'avait dit : "Fitzgerald, je doute fort que quiconque ne parvienne jamais à faire de vous un soldat!" Aujourd'hui je sais qu'un homme y est parvenu!"
John Fitzgerald

Cole et Stopka à la ferme Ingouf, les héros de Purple heart's lane!
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